• des partenariats avec des prospects de la vie étudiante locale pour la constitution des colocations

• la responsabilisation de certains colocataires comme régisseurs pour l’accompagnement de proximité

• l’encadrement par la structure professionnelle pour piloter les tâches traditionnelles de gestion locative.

En utilisant les possibilités offertes par la loi ALUR et la loi ELAN, des procédures de gestion adaptées aux nouveaux usages étudiants sont autorisés : baux d’un an sans droit au maintien, logements meublés et forfaitisation des charges.

Des baux de quelques mois, permis par la loi 3DS, peuvent compléter les périodes de location de plus en plus courtes des étudiants.

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Malgré ces adaptations réglementaires, les bailleurs sociaux ont du mal à attirer les publics étudiants et jeunes dans leur parc :

• La rotation 3 à 4 fois plus rapide chez les jeunes que chez les familles nécessite un renouvellement rapide et continu des baux

• La colocation implique la signature de plusieurs baux par logement sans solidarité

• La saisonnalité forte et le risque de vacance dans les périodes creuses découragent les bailleurs à développer l’offre de logements envers ce public étudiant

• La mobilité en constante hausse des étudiants et jeunes nécessite une offre clé en mains

Le statut d'association loi 1901 de Résid’UP et son objet statutaire lui permet de louer des appartements aux bailleurs sociaux et de les sous-louer à des étudiants ou jeunes de moins de 30 ans.

Cette « prise à bail » est défini dans le CCH aux articles L.442-8-1, L.442-8-2, L.442-8-3-1 et L.442-8-4

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L’offre de Résid’UP permet de lever ces freins pour le compte du bailleur :

• Pas de risque de vacance et d’impayés pour le bailleur

• Pas de gestion des entrées et sorties des colocataires

• Plus de gestion de baux multiples

• Pas de gestion de meubles ou de services

Dès 2022, les bailleurs sociaux nous ont fait confiance en nous confiant plus de 70 logements en diffus et l'exploitation de futures résidences en construction...